Saturday, February 16, 2013

LA CRITIQUE FILM #001

Holy Motors - Leo Carax

Holy Motors, il me semble que c' est une journée de la vie de Monsieur Oscar (Denis Lavant), un acteur qui les rôles semblent avoir lieu dans le monde réel plutôt que à la scène ou à l'écran. Comme Oscar est transporté d'une affectation à l'autre par son fidèle chauffeur de limousine Céline (Edith Scob), donc aussi ne réalisateur Carax nous emmène à son point de discussion suivant. Chaque vignette surréaliste est présenté sans beaucoup d'explication, et Carax refuse d'être intime avec les auditoires, au contraire, il offre aux spectateurs la chance de reconstituer le film ensemble eux-mêmes. De même, la performance remarquable de Lavant peut tourner sans d'alerte, en déplaçant le ton du film entier à partir du tragique comique à tout moment, plus désorientant le public. Alors que certains des rôles d'Oscar ont punchlines éclairage pour faciliter la compréhension, la majorité sont beaucoup plus conceptuelle, et la demande répète visionnements pour décompresser avant intentions de Carax pour la pièce dans son ensemble deviendra clair, si elles ne le fera jamais.

Je vais le regarder de nouveau parce que c'est comme une gomme à moi, tu gardes le mâcher et vous obtenez toujours un peu de goût que dans un certain état, tu sais que tu as eu assez ...

À la prochaine fois!